mercredi 15 avril 2009

Pháp ngữ với văn hoá & festival Huế (Báo Thừa Thiên-Huế)


Trong bài «ghi nhận ý kiến» dưới đây của Báo Thừa Thiên-Huế (số cuối tuần 2 - 5 tháng 4 / 2009), tôi xin phép được «nói lại» một số chi tiết liên quan đến phát biểu của cá nhân mình, không hiểu do đâu mà phóng viên đã tường thuật có phần khác so với điều tôi muốn nói:
- Đoạn «Tôi không bằng lòng với chủ trương chọn ngoại ngữ là tiếng Anh khi tiến hành thi tuyển đầu vào cao học của Bộ Giáo dục và Đào tạo », xin đọc là: «Tôi rất thất vọng trước chủ trương của Bộ Giáo dục-Đào tạo khi Bộ quyết định: từ năm 2009, trong kỳ thi tuyển sinh vào đào tạo cao học, ngoại ngữ duy nhất được chấp nhận là tiếng Anh». Và cũng thật may mắn, vài ngày sau Hội thảo về Các Ngành nghể Văn hoá này, Bộ GD-ĐT đã có chủ trương điều chỉnh một số điểm trong quy chế, và một trong những điểm được điều chỉnh là: thí sinh có thể chọn một trong nhiều ngoại ngữ khác ngoài tiếng Anh. Mặc dù sự điều chỉnh này vẫn chưa thật tích cực, song có được kết quả ban đầu nói trên là nhờ nỗ lực của nhiều giáo viên ngoại ngữ trong cả nước đã có ý kiến đề đạt với Bộ GD-ĐT, và nhiều thành phần xã hội khác cũng có ý kiến phản hồi trên báo chí.
- Đoạn «Phải đặt tiếng Pháp ngang hàng tiếng Anh thì ngôn ngữ này mới có điều kiện phát triển được.», xin đọc là: «Bên cạnh tiếng Anh là ngoại ngữ rất quan trọng, thành phố Huế, tình Thừa Thiên-Huế nên quan tâm hơn đến tiếng Pháp, như thế ngôn ngữ này mới có điều kiện phát triển được.» Tôi vẫn luôn tin tiếng Anh có vai trò cực kỳ quan trọng, nhất là trong giai đoạn hiện nay, nhưng không nên xem đó là ngoại ngữ duy nhất khi đất nước và mỗi tỉnh thành thực sự muốn phát triển, hội nhập và mở cửa.
Trân trọng và cảm ơn,
Phạm Thị Anh Nga



samedi 11 avril 2009

STAGE AUF (C.B.) – ICI ET AILLEURS 8e (Hachette Edicef) – HANOI AOÛT 2004

PARCOURS 2 : LE TEXTE NARRATIF / LA NOUVELLE

PRODUCTION ÉCRITE

(de la part des stagiaires en fin de stage)



Responsable: PHAM THI Anh Nga (ENS de Hué)


Page 38 no 8 – Le délégué. Imaginez et écrivez d’autres dénouements.

Groupe 2

- Ngọc Bảo, Minh Hương, Văn Phúc:

1. Enfin, il n’a pas disparu et était toujours dans la ville. Il était tombé amoureux d’une jolie femme de 34 ans. Ils menaient une vie heureuse en couple.

2. En effet, le robot vivait toujours à Rome mais il était directeur d’un atelier fabriquant des robots de talent qui pourraient remplacer des dirigeants humains.

3. Enfin, il était toujours à Rome mais il était gravement malade. Il avait mal au cœur pour ne pas etre aimé de la secrétaire de son patron. Il devait être soigné à l’hôpital.

- Huỳnh Thị Anh Đào:

4. Puis un jour, on perdit le contact avec ce robot.

Des mois passèrent.

Des touristes vietnamiennes, lors de leur voyage en Italie, à Rome, aperçurent dans la rue ce robot élégant, le séduisirent par leur charme asiatique et l’amenèrent chez elles, un appartement dans la banlieue de Rome.

Comme ces femmes le trouvèrent capable de les rendre heureuses, elles lui demandèrent de leur transmettre sa force magique. Elles le branchèrent à un ordinateur dont l’enregistreur copia toute l’énergie du robot ; puis elles le jetèrent dans la rue, devant un musée. Elle croyaient que tous les hommes les aimeraient aveuglément, sans tenir compte de leur origine ni de leur situation familiale.

Le robot vivait toujours. À Rome, d’ailleurs. Mais il ne pensait plus aux affaires. Il avait tout oublié.

- Lưu Thị Kim Anh:

5. On dut se résoudre à envisager non seulement une baisse effrayante de chiffre d’affaires, mais aussi la faillite pour un jour très proche.

Quant au délégué, il vivait toujours. À Rome, d’ailleurs. Mais il trouvait qu’il avait travaillé seulement pour l’entreprise et non pour lui-même. Alors, il voulait se reposer et profiter de la vie. Il passait toutes ses journées à voyager et faire le tour du monde. Il visita beaucoup de pays. Quand le tour finit, il ne savait plus ce qu’il devait faire. Il était triste. Pour lui, la vie devint monotone.

Un jour, il resta seul dans un café et lut un journal. Soudain, il savait que le lendemain, son ancienne entreprise serait fermée pour cause de faillite. Il se sentait en plein remords. Il rentra tout de suite auprès de ses collègues. L’entreprise connut ainsi un avenir de nouveau prometteur.

Groupe 3

- Trần Thị Ngọc Dung:

6. Oh ! On ne l’avait pas retrouvé et pourtant il n’avait pas quitté le pays. Les Compagnies et les sociétés s’inquiétaient beaucoup car leurs commandes étaiant colossales, leurs chiffres d’affaires s’élevaient à des millions d’euros.

On s’affolait, on s’était mis à sa recherche et personne ne l’a retrouvé.

Et, par surprise, je l’ai rencontré hier. Il s’est déguisé en petit gars portant une chemise à carreaux et un knicker. Je l’ai appelé, salué mais il faisait semblant de ne pas me reconnaître. J’ai insisté et il s’est enfui. Je l’ai suivi et je l’ai vu rejoindre les enfants du quartier qui l’acclamaient avec joie.

Ah! Voilà, j’ai compris pourquoi il a refusé de me parler!

- Minh Phượng:

7. Après avoir accompli toutes les missions que l’on lui a confiées, il restait dans sa chambre sans adresser un mot à ses responsables.

Un jour, il est parti. Il marchait, marchait très longtemps, Devant lui, un champ de blé d’une couleur verte veloutée. Tout est tranquille, d’une tranquillité absolue. Il est assis au bord de la piste. Il se sentait seul dans le monde des hommes. Personne ne comprenait ce qu’il pensait., ce dont il avait besoin. Il se demandait s’il n’était qu’une machine. Il fallait chercher la réponse. Depuis personne n’avait plus de ses nouvelles.

- ? ? ? ? ? ? ? ?:

8. Il passait toutes ses journées dans la cave d’une société qui fabriquait le meilleur cognac du monde, en banlieue de la ville. Il ne pouvait plus vivre sans alcool, surtout sans cet excellent cognac.

- Lê Thị Hoài Trang:

9. Le robot vivait toujours mais il a tout changé. Et il errait toutes ses journées partout pour trouver la trace d’une jeune fille habillée d’une robe jaune (sa couleur préférée), qu’il avait vue un jour chez un tailleur : une belle mannequine en plastique.

- Trần Thị Mỹ Hạnh:

10. Il vivait toujours, mais malheureusement il ne pouvait faire aucun pas pour sortir de sa situation : il était collé à un tas d’aimants qu’on laissait derrière une vieille usine où il passait en rêvant d’une certaine jolie ancienne collègue.

Groupe 4

- Vĩnh Thị Thu Hà:

11. En effet, il était tombé amoureux d’un objet qui était là, dans une vitrine de ce musée : une ravissante pendule du XVIIIe siècle. Alors, il cherchait tous les moyens pour s’approcher d’elle. Un jour, profitant de la fermeture du musée, alors qu’il n’y avait plus aucun visiteur et que l’entrée était laissée sans surveillance, il avançait tout près d’elle en chuchotant: «Je…».

«Oh! Eh! Oh! Eh! U… U…!!!»

L’homme amoureux tomba dans l’embarras et fit casser la femme bien aimée de sa vie…!

- Trần Công Tiến:

12. En réalité, le robot a creusé dans la terre et il créait un nouveau monde. Ici il faisait tout ce qu’il voulait. Il s’occupait de ses habitants comme de ses soldats, ses ingénieurs…

Il continuait à fabriquer des robots plus modernes, plus intelligents. Il restait toujours là et il oubliait tout ce qui s’était passé avec lui et son travail en Italie. Maintenant il est le roi de ce monde qui est plus moderne que celui où il avait travaillé. Il a une vie heureuse.


Page 40 – no 5. Réécrivez le texte pour parler d’une famille très pauvre, ou au contraire très riche.

Groupe 4

- Nguyễn Hồng Nga:

1. Cétait une toute petite maison qui se trouvait au bout d’une impasse toujours bruyante et boueuse même quand il ne pleuvait pas. Y vivaient quatre êtres humains dont la vie éatit bien misérable. Cela s’observait. Il n’y avait presque rien de précieux dans cette boîte d’allumettes qu’on appelait maison. Au milieu de la pièce unique se trouvait une table ronde, un peu basse et surtout ancienne comme ses maîtres, sur laquelle on avait mis quelques coupes poussiéreuses et sales. Les quatres coins de maison étaient chargés de vieux vêtements et de couvertures négligemment tassés. On ne voyait aucune trace de distraction dans cette maison car il n’y avait ni télé ni radio, seulement une photo accrochée sur le mur dont ne pouvait plus distinguer la couleur à cause des tâches et des toiles d’araignées. On dirtait une maison du malheur.

- Bùi Thị Hải Quỳnh, Hồ Thanh Huyền:

2. Un couple de paysans vivait pauvrement dans un hameau. Leur logis, comme chez toutes les familles pauvres, était fait de bambou et de paille. La chaleur et la pluie y pénétraient tout le temps. Deux seules pièces permettaient de loger toute la famille nombreuse de six personnes et il y avait même un petit jardin où l’on pouvait faire pousser seulement quelques arbres fuitiers et élever quelques poules et canards. Chaque jour, ce couple devait se lever très tôt pour aller travailler dur dans les champs. Mais ces rizières n’étaient pas fertiles, alors leur vie était très difficile. Il y avait des jours où ces paysans restaient en famine. Oe, ils ne se plaignaient jamais de leur sort et ils espéraient toujours que leur vie serait meilleur un jour.

- Phạm Thị Hợp:

3. Le mois dernier, je suis retournée à mon village natal qui se trouve à 150 km de Hanoï. Là vit une famille de paysans pauvres dans un hameau désert. Leur logis est fait de bambou et recouvert de paille. Les objets dans la maison n’ont aucune valeur : deux petits lits de bambou avec des nattes déchirées où il y a deux êtres malformés de 20 ans et de 15 ans. Ils sont le fruit amer d’un amour fidèle entre une belle jeune fille de campagne avec un soldat après dix ans d’attente. Le père est maintenant très faible, il souffre beaucoup du changement de temps. Sa femme, une petite femme très maigre qui ne sourit jamais, travaille du bon matin jusqu’au soir sous le soleil, sous la pluie pour nourrir ses pauvres enfants et son mari. La nuit, elle n’arrive pas à dormir, elle est torturée par les cris des enfants, par les gémissements de son mari mais elle ne se plaint jamais. Elle prie seulement pour avoir une santé lui permettant de travailler pour s’occuper de ses malheureux proches.


Page 41 – no 7c. Portrait d’un petit être vivant.

Groupe 2

- Trần Bá Dũng:

1. Cette petite créature se tenait là, entre les rangées de livres. Elle ouvrait ses grands yeux pour mieux m’observer. Ses deux grandes orielles pointues se dressaient sur une sorte de tomate sur laquelle apparaissaient à peine deux petits bouts à la place du nez et de la bouche, une bouche profonde sans dents, ni lèvres, ni langue. De son corps, à la taille d’une pomme, remuaient horriblement une dizaine de bras de pieuvre. C’était un vrai petit démon.

- Nguyễn Thị Mỹ Hoa:

2. Sa taille ne dépassait pas celle d’un bébé de six mois. Ses poils doux de couleur blanche étaient très agréables au toucher. Ses yeux, deux billes transparentes, brillaient dans le noir. Son museau à demi ouvert éatit toujours prêt à mordre ceux lui étaient étrangers. Sa jolie queue bougeait sana cesse quand on le caressait. Pour les membres de ma famille, Milou était un vrai ami intime.

Groupe 3

- Phạm Trần Thy Linh:

3. Sa taille ne dépasse pas celle de ma cuisse. Son poil de deux jolies couleurs est doux au toucher. Comme un bébé, il aime être caressé et dormir la tête sur mes jambes.

Il est très intelligent car il peut distinguer le ronflement du moteur de ma moto sw celui des autres et il court très vite à l’entrée de ma maison pour sauter sur mon cou. Il aime être pris dans mes bras à mon retour, sinon il ne me laisse pas marcher. Il est si sage qu’il ne prend que les plats permis par ma mère. Il est un très bin gardien, personne ne peut entrer dans ma maison sans notre signal. Chaque fois qu’il aime dormir à côté de moi sur mon lit, il me regarde en fétillant la queue.

Je l’aime beaucoup, je le considère comme un ami intime. Il m’aide à oublier la tristesse en jouant avec lui.


Page 43 – no 5. Rédigez un récit en utilisant le tableau proposé (Panne générale d’électricité).

Groupe 2

- Bùi Xuân Huy:

1. Un accident a eu lieu hier soir devant l’hôtel Câu Giây, vers 18 heures. Un piéton d’une quarantaine d’années traversait la rue sans faire attention. Une moto qui roulait à toute vitesse l’a violemment heurté. Tombé par terre, il a perdu connaissance. On a appelé le service médical qui l’a transporté d’urgence à l’hôpital. Un embouteillage a duré presqu’une heure. Selon les médecins, le blessé reste toujours dans le coma et son état de santé s’aggrave de plus en plus.

- Thái Thị Bình Định:

2. Le soir tombait légèrement sur le petit village entouré de montagnes vertes. Antoine, le facteur de la région, se précipita pour finir son travail avant de rentrer chez lui. Une émission très particulière à la télévision l’attendait à 7h30: un reportage sur la guerre en Irak réalisé par sa femme qu’il ne revoyait plus depuis six mois. Il était si heureux en écoutant la voix de sa femme et en voyant les scénes qui se déroulaient magnifiquement à ses yeux en dépit des chagrins que ces images de cette guerre pouvaient apporter aux spectateurs. C’est simplement qu’il aimait bien sa femme ! Il décida d’enregistrer cette émission. Il alla chercher une cassette-vidéo. Il brancha les fils électriques. Il alluma son magnétoscope et quel étonnement, tout fut éteint ! Il eut du mal à rebrwncher les appareils. Furieux de son échec, il sortit de sa maison pour faire une promenade en pensant à sa femme…

- Võ Thị Ngọc Bích:

3. Un soir d’été, vers 20 heures, tout le monde se réunissait dans son foyer, après un repas délicieux, au clair des lampes électriques. L’un lisait son journal. L’autre travaillait dans son bureau. Les enfants jouaient dans le jardin ou regardaient la télé. Chacun de son côté. Là, dans la rue, s’éclatèrent les lumières des lampadaires ou des tableaux de publicité. Une ville active se présenta au monde, à travers les différentes couleurs de panneaux. Soudain, une coupure d’électricité se produisit à cette région, entraîna une énorme couleur noire. On arrêta tout, presque partout, dans la rue, et même dans le bâtiment. Une ville paralysée pendant une demi-heure ! Les cris des enfants et de leurs mères dans les ruelles, les freins et les klaxonnements assourdissants des autos dans les rues… Que de monde effrayé par le noir !

Groupe 4

- Nguyễn Thị Định:

4. Dimanche dernier, le soir vers 18 heures, dans un appartement de l’immeuble Lê Đình Lý, il s’est produit une gigantesque coupure d’électricité.

Une jeune fille faisait la cuisine, quand tout à coup le téléphone a sonné. Elle a pris le téléphone et s’est mise à discuter sans faire attention à son micro-ondes qui a pris feu et brûlé. L’électricité de l ;immeuble est tombée en panne.

Le désordre était énorme. Plongé dans l’obscurité, l’escenseur ne marchait plus. Des personnes sont restées coincées pendant des heures ; certains ont passé la soirée en allumant les bougies et d’autres sont allés dormir sans lumière.

- ? ? ? ? ? ? ? ?:

5. L’année dernière, j’ai passé «des vacanes horribles» dans une maison de campagne.

En fait, c’était mon ami André qui m’avait proposé de l’accompagner. Sa tante habitait dans un village de Nice et sa maison était libre pendant le mois d’août. André en a profité pour nos vacances cet été-là.

Quand nous sommes arrivés, j’avais déjà envie de faire demi-tour et quitter le lieu. Tant de poussière, d’odeur désagréable! Mais André m’a suivie en disant qu’il allait ranger la maison en un clin d’œil. Bon, j’ai attendu… Qu’est-ce que j’ai encore vu ? Des souris et des souris… J’en vais horreur.

Oh, ce n’était pas tout.

La nuit, André dormait profondément tandis que moi, je n’ai pas pu fermer les yeux une seule minute. Tout m’a affolée. Des bruits comme si quelqu’un frappait à la porte. Des soupirs venant du plafond, des sifflements très forts et bizarres du vent, des pas dans la cuisine…

Le lendemain matin, j’ai dit à André de quitter la maison, Sinon j’allais mourir de peur.

- Mỹ Ngọc:

6. Après avoir dit «bonne nuit» à ma grand-mère, je me suis précipitée vers l’ascenseur, de peur de manquer l’autobus. M’installant dans la cage, j’ai appuyé sur le bouton « 1 » et j’ai attendu. Les yeux fixés sur les numéros qui changent, j’admirais l’invention de l’ascenseur: on peut descendre du 10e étage au rez-de-chaussée en quelques minutes sans aucune goutte de sueur. Tout à coup, l’ascenseur s’est arrêté, tout était noir. Le bébé dans les bras de la femme à côté de moi a crié. Une vague panique m’a prise. J’ai essayé de crier au secours, en frappant fort sur la cage. Mais en réponse, rien que le cri du bébé et la chaleur étouffante. De longues minutes passaient. J’avais la gorge déchirée et une main toute brûlante. L’idée de passer toute la nuit dans cette cage diabolique m’envahissait quand j’ai entendu la machine bouger. La lampe s’est rallumée. En quelques secondes, l’ascenseur s’est arrêtée, la porte s’est ouverte. Devant nous, un homme en uniforme de gardien. «Comment allez-vous?», nous a-t-il dit. «Excusez-nous de cet incident. C’est à cause d’une souris qui a mordu un fil électrique.» Même épuisée, j’ai plaisanté: «L’avez-vous emprisonnée?»

- Trịnh Thị Hoà:

7. Hier soir, il pleuvait très fort, il y avait des tonnerres et des éclairs. Tout à coup, le courant a été coupé, c’était une panne générale d’électricité dans notre ville. Il faisait très chaud et noir. À 11h, un voleur est entré dans la maison de mon voisin. À cause de la chaleur, je ne pouvais pas dormir et je l’ai vu voler une moto. J’ai appelé la police. Dix minutes après, le voleur a été emmené au commissariat.

- Lê Hồng Hoàng:

8. Parmi les repas de ma famille, j’aime bien le dîner car c’est le moment où toute ma famille se réunit. On se parle, on discute pour prendre connaissance des activités de chaque personne. Mais ce soir-là, pendant que nous prenions le dîner, soudain tout était devenu sombre: c’était une panne d’électricité. Tout le monde devait tout faire dans l’ombre. Finis les éclats de rire, les discussions et les voix. Alors, on était très triste, on n’avait plus envie de raconter ses activités de la journée. Une demi-heure passait, tout à coup toutes les lampes s’étaient éclairées mais le dîner était déjà terminé. Chacun devait rentrer dans sa chambre pour se reposer après une longue journée de travail, ou pour préparer son projet pour le lendemain. La panne d’électricité a ainsi enlevé le moment le plus heureux de ma famille.


Page 45 no 3 – Essayez, à votre tour, de décrire un jardin que vous aimez.

Groupe 1 (?)

- Nhị:

1. À 7km au Sud du centre-ville, dominante sur une colline, ayant une belle vue sur un fleuve, ma maison est là depuis ma naissance, Elle est entourée d’un très joli jardin rectangulaire où je passe la plupart de mon temps libre.

Au printemps, il est couvert d’un manteau vert, car les pelouses y dominent. Aux coins, les badamiers poussent de premières feuilles qui annoncent l’arrivée du printemps. Le long des allées, des fleurs de toutes les couleurs attirent beaucoup d’insectes. Puisqu’ il est loin de la ville, il est assez calme, on n’y entend que le chant des oiseaux ou le bruit léger des insectes. Lorsqu’il y a un vent qui passe, on sent le parfum des nouvelles feuilles et des fleurs et même la douceur du printemps.

Groupe 2

- Nguyễn Văn Trải:

2. Je présente mon petit jardin préféré. Devant une maison, le jardin semble très beau, très coloré. À côté du jardin, c’est l’entrée de la maison plantée d’ehrbes courtes et vertes. Au milieu du jardin, il y a beaucoup de fleurs avec une diversité dans les couleurs comme violet, jaune, vert, rouge, rose. De petits arbres se dressent autour du jardin et ils font des ombrages si idéaux pour la pelouse au-dessous.Tout le paysage du jardin rend la maison plus belle. Certainement on l’aimera tout de suite quand on le verra.

- Lê Thị Mỹ Linh:

3. La fenêtre de ma maison donne sur un petit jardin romantique où il y a plusieurs sortes de plantes et des fleurs exotiques. À l’entrée, les saules pleureurs en rang sont intercalés par des bancs et une balançoire. Des herbes courtes et vertes qui servent de chemin vont jusqu’à ma porte. Au coin du jardin, un rocher artificiel abrite des petits poissons multicolores. Chaque matin, de ma chambre remplie de parfums de fleurs, d’herbes de mon jardin, j’aime bien admirer lelever du soleil.

- Nguyễn Thị Sậu:

4. Mon jardin se trouve derrière ma maison avec une superficie de 40 m2 de forme rectangulaire. Là, mon père a cultivé beaucoup d’arbres fruitiers: les bananiers, les cotronniers, les pommiers, les manguiers.

À la saison des fruits, surtout quand les fruits sont mûrs, ils nous apportent un superbe mélange de couleurs: rouge, jaune, verte… Autour du jardin, il y a des barres de pierres roses pour éviter des voleurs. Au milieu du jardin, une petite place avec des chaises où on peut se détendre après le travail. Chaque jour, j’y vais pour contempler les fruits, les cueillir et les manger. On peut écouter les chants des oiseaux parce qu’ils y viennent aussi pour goûter les fruits.

- ? ? ? ? ? ? ? ?:

5. La fenêtre de ma chambre donne sur le jardin. C’est mon paradis.

C’est là que l’on peut écouter chanter les oiseaux, que l’on peut admirer les papillons caresser les fleurs de toutes les couleurs. Au cœur de ce monde, on oublie tous les soucis de la vie. On peut partager aux plantes la tristesse et le bonheur.

Mon jardin, c’est un monde merveilleux.

Groupe 3

- Trần Công Định:

6. À l’occasion des vacances dernières, je suis parti à Dalat. Là bas, il y a beaucoup de jardins de couleur ; un de ces jardins qui m’ont séduit est le jardin de Minh Tâm.

L’entrée est la double rangée de plantes à fleurs de couleur rose et verte. Au milieu, un jardin rose avec des parfums frais, que je ne pourrais pas oublier.

Groupe 4

- Nguyễn Thị Mị Dung:

7. Le matin, mon petit jardin est pareil à un tapis mosaïque: le rouge, le violet, le jaune des fleurs, le vert des feuilles. Tout est brillant sous les lumières douces du soleil. À ce moment-là il est vraiment formidable de sentir le parfum de nombreux orchidéees et lys, un parfum-mélange de plus en plus ambaumant dans l’air pur. Et un oiseau qui chante seul réveille une nouvelle journée !

- Trần Thị Ánh Nguyệt:

8. Ce jardin de paysan est superbe pour ses fruits: des longanes brunes et rondes comme des billes accrochées aux branches, des ramboutans rouges comme le soleil. Au-dessous, des cannes à sucre toutes vertes.

En se promenant dans ce jardin, on se sent au paradis.

- N.K.:

9. Un ciel bleu, quelques fils de nuage blanc… Un vent frais survole les arbres puis caresse les feuilles, les fleurs. Le jardin entoure la petite maison blanche au pied d’une colline toute verte. Une haie de bois, peinte aussi en blanc, laisse une petite entrée caillouteuse. Des centaines de sortes de plantes vivent heureuses dans le jardin de mon rêve. Le chêne tout grand et vieux couvre une sombre terre fraîche au-dessous de laquelle se place notre balançoire. Le long de l’entrée, des rosiers poussent fortement de la terre, leurs jeunes feuilles vertes, ajoutées même par une légère couleur rose, agitent dans le vent, sous le soleil matinal. Au bout des feuilles, les rosées brillent de leur couleur de diamants. Tout le jardin répand un parfum doux et séduisant. Des milleirs de roses de toutes les couleurs, de toutes les origines s’y sont réunies…