jeudi 29 septembre 2011

Présentation des manuels Cánh Buồm (La Voile) publiés en 2011 (Traduit du vietnamien par Phạm Thị Anh Nga) - IV -


(Fin)



ANGLAIS

(TIẾNG ANH)



Selon la planification de l’an 2011, le Groupe Cánh Buồm publiera les deux premiers volumes des Manuels d’Anglais 1re partie – volume 1 et 2e partie – volume 2, tous les deux volumes sont de nature exploratoire et conçus exprès pour causer des débats dans la société.


Explorer quoi et causer des débats sur quoi ?


Tout d’abord sur les objectifs de l’apprentissage de l’anglais dans l’enseignement général. Selon l’opinion du Groupe Cánh Buồm, l’apprentissage de l’anglais dans l’enseignement général vise à apporter un premier outil pour que les enfants commencent par la langue à se créer à eux-mêmes la capacité à s’intégrer à une culture étrangère.


Un système de production peut être mondialisé, un événement de grande importance peut être mondialisé. Mais la notion de globalisation est quelque chose qui dépasse la production ou des événements isolés. La globalisation est un nouveau mode de vie commune à une ère nouvelle entre les peuples, un mode de vie imposé naturellement à cause des changements de l’ère nouvelle. Dans la globalisation, l’être humain doit s’intégrer et s’adapter à d’autres cultures.


Outre le sens d’intégration, la façon d’apprendre l’anglais doit y être aussi un modèle de méthode d’apprentissage, pour que les élèves puissent l’appliquer dans l’apprentissage d’une ou de plusieurs autres langues étrangères lorsque leur vie en aura besoin.


Dans cet apprentissage de langue étrangère, il n’est pas bon de définir à la légère l’approche d’apprentissage de l’anglais des élèves de l’enseignement général. L’approche dite communicative est née avant que la Deuxième Guerre mondiale soit terminée (en 1944), alors que l’armée des États-Unis devait préparer des centaines de milliers de personnes, et en peu de temps, près du tiers d’un million d’officiers avaient appris avec succès des langues étrangères selon la méthode intensive pour pouvoir communiquer en langue étrangère, prêts pour l’ambition de prendre le contrôle de nombreuses régions parlant différentes langues dans le monde. Grâce à l’efficacité pragmatique de cette “approche” communicative, elle est devenue par la suite l’approche d’apprentissage des langues étrangères, appréciée et appliquée largement même aux enfants.


Pourtant cette démarche pragmatique pour les adultes, pour les officiers des États-Unis, à l’origine absolument juste, pourrait tout à fait être une erreur si elle est mise en application à l’apprentissage d’une langue étrangère chez les enfants. Un chercheur perdu dans le Centre de l’Afrique où l’on parlait 500 langues ne pouvait pas attendre plus d’une semaine pour arriver à communiquer et agir (et vivre). Plus tard dans les années de guerre froide, les personnes qui vivaient dans le “paradis” socialiste et qui s’exilent dans des pays capitalistes, ne peuvent pas attendre plus de trois mois pour pouvoir trouver du travail afin de gagner leur pain et envoyer de l’argent de ressortissnts à leur famille.


Mais appliquer cette démarche d’apprentissage des adultes aux enfants pourrait risquer de graves erreurs. Avec beaucoup de réserve, je dis “pourrait tout à fait”, car il existe des régions suffisamment riches et ayant des enseignants natifs, où l’ “approche” communicative fera avancer rapidement les enfants qui communiqueront bien à l’aise. Mais pour que des dizaines de millions d’enfants puissent apprendre des langues étrangères dans l’enseignement général avec des enseignants considérés à tout moment comme étant “en dessous de la norme”, la modalité d’apprentissage des langues étrangères selon l’orientation “communicative” a de fortes chances de risquer d’être considérée comme non appropriée si elle ne s’avère pas encore faire bientôt faillite.


Alors que faire et comment ?


Cánh Buồm pense que, pour que la démarche d’apprentissage des langues étrangères chez les enfants soit équilibrée, convenable aux ressources d’enseignants existant actuellement et devant être considérés comme étant dans la norme, sans doute devrions-nous suivre l’approche qui consiste à appréhender la structure – maîtriser la fonction, ou, plus brièvement pour faciliter la mémorisation, STRUCTURE – FONCTION.


L’approche structurale exige de former chez les apprenants une connaissance linguistique approfondie de la langue étrangère (l’anglais en l’occurrence). “Connaissance linguistique approfondie” signifie faire face à l’ “approche” qui consiste à encourager les apprenants à imiter à merveille, et parfois même à les autoriser à mal utiliser la langue, pourvu que l’effet “communicatif” soit atteint. Que les linguistes pragmatiques disent ce qu’ils veulent, et aient à leur gré l’exploit souhaité, quant aux enfants vietnamiens qui poursuivent des études dans l’enseignement général, combien d’entre eux auront besoin pour le moment d’entrer dans la région du Centre de l’Afrique ou d’aller assurer le contrôle d’une terre nouvelle ? Sans compter que les enfants ont encore devant eux jusqu’à 12 années scolaires, pourquoi donc opter pour la création chez ces enfants d’une compétence en langue étrangère aussi hâtive et restreinte ! Nous avons besoin que les élèves aient de la compétence et soient rassurés d’avoir bien (ou de ne pas avoir mal) utilisé une langue étrangère. Dans le cas extrême, il vaut mieux que les enfants ne sachent que lire plutôt que savoir seulement dire à tort et à travers quelques phrases pour blaguer avec des touristes !


Mais ce sera une erreur si on ne crée pas aux élèves des occasions d’utiliser des structures linguistiques appropriées dans la fonction communicative de la langue en général. Sans compter que la notion “communication” doit être parfaitement comprise : il peut s’agir de temps à autre de situation de communication imaginaire (des sketchs scolaires entre renards, agneaux, loups… comme ceux d’Ésope en train de se communiquer), il peut aussi s’agir de situations de communication “civilisationnelle” quand on vient aux us et coutumes … d’autres cultures, et encore des situations de communication implicite à travers des livres, des pensées, voire de la communication intérieure “avec soi-même”. Dans tous les cas ainsi cités, la communication est aussi un moyen pour consolider la langue.


Selon cette démarche d’enseignement et d’apprentissage des langues étrangères, la compétence en langue étrangère des élèves se construit au fur et à mesure à plusieurs étapes.


Cánh Buồm a un manuel Tiếng Anh cơ bản (L’anglais général) volume 1 qui aide les enfants à prononcer et à accumuler du vocabulaire initial où figurent ces sons ; le volume 2 les aide à consolider la prononciation et à acquérir le vocabulaire selon les classes de mots ; dans ces deux volumes la fonction communicative est mise en application dans des jeux de langage. Pour le volume 3, le manuel aide les enfants à acquérir des structures de mots et de phrases, et la fonction communicative est introduite dans des jeux de langage à des niveaux plus élevés par rapport aux classes antérieures.


À propos de l’unité d’apprentissage de l’anglais dans le volume 3 qu’est la phrase, on s’aperçoit du rôle infiniment important du verbe anglais – autrement dit, dans ce volume, l’accent prédominant est mis sur le verbe anglais avec des modalités d’existence de cette classe de mots “à l’anglaise”, c’est-à-dire tout à fait différente par rapport au verbe vietnamien !


Les manuels d’anglais de Cánh Buồm sont par ailleurs élaborés selon une intention claire, c’est de chercher à faire de sorte que tous les enseignants ainsi formés puissent organiser le plus facilement possible l’apprentissage de l’anglais aux enfants. Ce manuel ne met pas l’enseignant en enjeu, en les exigeant d’avoir eux-mêmes des “initiatives” pour créer des situations de “communication” trop fatigantes pour eux. Avec ce manuuel, l’enseignant n’a qu’à effectuer doucement chaque partie, et former ainsi la compétence des élèves suivant trois strates :


● BRUTE – s’exercer lentement et de manière sûre aux premières opérations. Le critère de cette étape est que les élèves sachent FAIRE CORRECTEMENT. Savoir faire correctement c’est avoir une COMPÉTENCE, c’est-à-dire la capacité de faire correctement et savoir pourquoi on a fait correctement (bien prononcer, bien retenir les mots, écrire avec une bonne orthographe, bien dire des phrases, bien utiliser un verbe dans une phrase).


● RAFFINÉE – les opérations précédentes sont réaliées de plus en plus vite. Par rapport à l’étape précédente, il s’agit maintenant de l’étape de FAIRE RAPIDEMENT où l’élève réalise la compétence avec un débit de plus en plus élevé – pour faciliter la mémorisation, disons que c’est l’étape de FAIRE CORRECTEMENT avec un DÉBIT de plus en plus rapide.


● MAÎTRISÉE – toujours les compétences précédemment acquises, mais qui se déroulent “automatiquement”…


Ces trois strates d’exigence placées dans un ordre ascendant aideront les enseignants à se sentir rassurés dans la conduite des élèves, et à ne pas avoir le complexe d’infériorité face aux enseignants natifs !


De cette façon, l’apprentissage d’une langue étrangère n’a qu’à s’effectuer tout doucement ! Rien ne sert de courir ! Et à ne pas oublier que les élèves vietnamiens doivent être compétents en langue étrangère sur la base d’être des Vietnamiens authentiques, et non pas dans la silhouette des Français en bois !


MODE DE VIE

(LỐI SỐNG)



Les enfants de nos jours grandissent sous la pression de nombreux paradigmes de valeurs morales différents, valeurs normalement appelées “l’ancien”, “le nouveau”… soit intercalées entre elles soit les unes imposantes envers les autres, et toutes ces “valeurs” aiment s’imposer aux jeunes enfants. Même dans le cadre familial, les différentes générations veulent imposer leur paradigme de valeurs morales aux enfants – et même dans le cas où l’un de ces paradigmes l’emporte, les enfants de cette famille subissent encore l’influence d’autres paradigmes issus de l’immense vie sociale à l’extérieur.


Lorsque l’enfant entre dans l’école générale pour commencer à bénéficier d’une éducation officielle, c’est aussi le moment où débutent les perplexités. Perplexe entre des enseignements toujours sublimes et la vie réelle. Perplexe entre des leçons merveilleuses reçues et la mise en application dans la réalité.


Au point de vue scientifique, la Psychologie moderne a montré que les enfants adoptent toujours une attitude de refus face aux critères moraux imposés – en revanche, ils respectent très bien les critères moraux qu’ils ont contribué à construire. Autrement dit, les enfants n’acceptent pas la façon d’enseigner les principes moraux (luân lý ou luân thường đạo lý, ce qui déjà a du mal à être accepté par la vieille génération, d’autant plus que ces enfants appartiennent à la génération contemporaine). Ils n’acceptent pas non plus l’enseignement de la vertu (đạo đức ou đạo cao chức trọng (grande vertu) – quel enfant dans cette vie rêve vraiment pour lui-même une très grande vertu ?). C’est la première raison expliquant la naissance de la matière Lối sống (Mode de vie).


Le Mode de vie ne signifie pas des dogmes à enseigner ou imposer. Le Mode de vie ce sont des principes de vie comportant une valeur morale acceptée par l’ensemble de la communauté consciente. Le Mode de vie ce sont aussi des disciplines et ordres de pensée et des actions naturelles, simples comme le souffle quotidien – indispensables et importants comme l’oxygène, mais il n’est pas absolument indispensable de proclamer à tout moment l’importance de l’oxygène.


C’est aussi pour cette raison que la matière Mode de vie ne s’effectue pas à travers les enseignements, conseils et menaces, mais par le fait d’organiser la vie nouvelle aux enfants à partir de la 1re année du primaire. Cette notion de “Mode de vie” peut s’exprimer de cette manière : Le Mode de vie, ce sont des actes conscients quotidiens d’un être humain, des actes traduisant un point de vue moral partagé avec tout le monde dans la communauté.


La matière Mode de vie élaborée par le Groupe Cánh Buồm comporte deux objectifs dans un même contenu :


● Équiper les enfants d’un mode de vie de l’homme moderne, à savoir : indépendant et autonome par rapport à soi, et sachant trouver un consensus par rapport aux autres, deux conditions pour vivre en harmonie dans la civilisation contemporaine.


● Guider à faire atteindre cet objectif à travers un système d’actions réalisées par les élèves mêmes, de façon que l’ “apprentissage” du nouveau mode de vie de ces enfants se déroule de manière tout à fait différente par rapport à toutes les démarches préexistantes de l’apprentissage de la morale ou des principes moraux.


L’enchaînement de l’ensemble des contenus à “apprendre” en mode de vie dans les classes dans le cadre de l’enseignement général de base se trouve assuré par l’esprit de consensus.


L’esprit de consensus n’est pas une forme d’union apparente, où chacun lève la main en signe de consentement à tout. Consentir c’est partir à la recherche d’un objectif commun pour se développer ensemble, et considérer ce développement comme la base de l’union. Consentir c’est savoir détecter un conflit et le traiter avec intelligence et humanisme. Consentir c’est une beauté d’âme de l’homme moderne – qui se développe en liberté et dans toute son étendue et qui respecte le libre développement d’autrui.


C’est en se basant sur cette base que les contenus se traduisent en objectifs selon chaque classe comme suit :


En 1re année du primaire, unifier la conception du consensus chez les enseignants, les parents d’élèves et les élèves pour organiser un mode de vie autonome des enfants, l’affirmation de l’individu qu’est l’enfant à travers des activités favorisant la prise de conscience, la compétence tout comme le plaisir de s’occuper de soi.


En 2e année du primaire, toujours sur la base de cet esprit de consensus, organiser et favoriser un mode de vie mis au service de la communauté.


La communauté se définit comme étant un regroupement d’êtres humains vivant ensemble, au dépens les uns des autres et en harmonie.


La communauté, comme appréhendé dans ce cadre de 2e année du primaire, est une notion générale, et qui cependant commence à être concrétisée dans le cadre de la communauté scolaire des enfants.


Une chose de très grande importance qu’ils ont constatée et qu’ils ont à traiter dans leur mode de vie, c’est la question d’attitude de vie. Au moins, dans le cadre de cette 2e année du primaire, ils ont eu des heures de classes intéressantes les incitant à réfléchir à l’encontre d’une attitude d’indifférence qui consiste à se boucher les oreilles, les yeux et la bouche face à tous les problèmes survenus à la communauté.


En 3e année du primaire, avec le bagage acquis, les enfants entrent plus profondément dans la communauté familiale. Il s’agit là d’une communauté où chaque être humain doit se comporter avec délicatesse envers les autres. Les problèmes relevant de la Loi sur le mariage et la famille, la Loi sur le travail des enfants, la Loi sur les droits des enfants… seront découverts par les enfants qui contribuent à les exécuter.


En 4e année du primaire, les enfants commencent à entrer dans une communauté plus étendue : leur Patrie Vietnam. Les matières Géographie et Histoire (apprises sous forme de leçons, et pas seulement comme des circonstances dramatiques, des jeux de rôles…).


Puisque le mode de vie est le lieu où se déroule le rapport entre l’individu (qui affirme toujours son indépendance) et la majorité (regroupement difficilement homogène des “autres”), nous verrons qu’organiser l’éducation d’un mode de vie aux enfants ne pourra nullement être des enseignements imposés unilatéralement.


Je me permets de rappeler que la démarche d’apprentissage de Mode de vie, tout comme celle de toutes les matières du programme d’Éducation moderne, est une démarche effectuée sans enseigner, sans imposer, réalisée par les pédagogues comme étant un processus de création d’actions pour amener les enfants à des notions et à mettre en œuvre leur propre vie nouvelle conformément aux notions.


Dans ce sens, les enseignants et les parents d’élèves peuvent accompagner les enfants, aider chacun d’eux à se créer à soi-même son nouveau mode de vie !


INFORMATIQUE

(TIN HỌC)




La matière Informatique est défini comme visant à aider les élèves de l’école primaire à acquérir une compétence d’homme moderne composée de trois éléments suivants :

Primo, respecter une discipline de travail avec l’outil qu’est l’ordinateur, ne pas considérer l’ordinateur comme un jouet, le définir comme un instrument de travail de notre époque ;


Secundo, acquérir une compétence relativement maîtrisée dans l’utilisation des programmes spécialisés mis au service de l’apprentissage (essentiellement se créer à soi-même une bibliothèque virtuelle, se servir de cet outil d’aide dans ses actions d’apprentissage comme les colloques, enquêtes, statistiques, savoir utiliser l’ordinateur comme un outil d’aide à l’apprentissage d’autres matières) ;


Tertio, avoir dans sa tête un mode de travail logique avec des actions qui s’enchaînent – notamment, en 5e année du primaire, acquérir rapidement et utiliser avec maîtrise le programme LOGO (ou “Pascal pour juniors”).


* * *


En construisant le curriculum et en élaborant les manuels pour le programme d’Éducation Moderne, Cánh Buồm ne compte pas intervenir dans les décisions des différents gestionnaires éducatifs, mises en application depuis tant d’années (par exemple : l’ordre de faire apprendre l’Informatique, et aussi l’Anglais, à partir de la 3e année du primaire). Cánh Buồm ne considère pas une telle décision comme relevant de la Psychologie éducative, mais plutôt liée à des calculs en budget et en ressources humaines.


- Les manuels Cánh Buồm sont élaborés avec l’hypothèse d’être utlisés à l’école tout comme en famille. C’est pourquoi l’âge pour commencer importe peu. En fait, les manuels de Littérature et de Langue vietnamienne du niveau primaire de Cánh Buồm ont été utilisés en essai avec des élèves de 10e et ils les ont bien appréciés. Autrement dit, au lieu de procéder à une élaboration “graduelle” de manuels, obligeant la classe supérieure à attendre les manuels la concernant, la société peut prendre l’initiative, si cela leur semble profitable, de décider d’utiliser des manuels de niveau inférieur aux classes de niveau supérieur afin d’ajouter ce que les élèves de cette classe supérieure auraient dû avoir appris.


- De la même façon, dans les manuels, toutes les matières donnent aux élèves des tâches d’agir dans le sens de se connecter à l’internet, collectionner, sélectionner, faire des statistiques, etc. comme si de manière universelle toutes les écoles du Vietnam étaient équipées de ces outils modernes. Nous autres, Cánh Buồm, nous ne sommes pas responsables du fait qu’il existe des endroits où l’école n’a pas accès à l’internet – nous ne sommes pas non plus responsables du fait que nos enfants scolarisés doivent payer leurs études… Cánh Buồm ne prend sa responsabilité que de ce dont il est responsable : créer un contenu d’apprentissage et une méthode d’apprentissage qui puissent inciter les élèves à aimer apprendre et les enseignants à améliorer facilement leur savoir-faire, pour que les enseignants aiment enseigner et que les élèves aiment apprendre, que les compétences des enseignants et des élèves se développent ensemble et au fur et à mesure selon trois niveaux BRUT, RAFFINÉ et MAÎTRISÉ, contribuant ainsi à assainir l’école, supprimer le phénomène des cours complémentaires qui perdure maladivement depuis longtemps.


(Traduit du vietnamien par Phạm Thị Anh Nga)


Groupe Cánh Buồm (La Voile) - Des manuels scolaires comme un voeu de modernisation de l'éducation du Việt Nam (Tables Rondes du 30 septembre 2011 et du 3 octobre 2011, organisées avec le soutien de la Maison d’Editions Tri Thức (Connaissance) de la Fondation Culturelle Phan Châu Trinh et de L’Espace, Centre Culturel Français à Hà Nội)

3 commentaires:

  1. C'est génial, votre blog phamthianhnga.blogspot.com!

    Bonjour!

    Je voudrais juste vous remercier pour votre excellent blog phamthianhnga.blogspot.com.

    J'ai lu votre premier post "PORTFOLIO de Pham Thi Anh Nga" et après j'ai passé une heure entière à découvrir votre blog :) Votre style est clair, passionnant, accessible. J'ai bcp aimé votre post "Présentation des manuels Cánh Buồm (La Voile) publiés en 2011 (Traduit du vietnamien par Phạm Thị Anh Nga) - I -".

    En fait, je travaille dans la société Jooble. Nous référençons les offres d'emploi dans le monde entier.

    Mon travail consiste à persuader des bloggeurs d'ajouter les liens vers notre site.

    J'adore mon travail. Notre équipe est très unie. Le directeur est sympa. Mais malheureusement, je n'ai aucune idée comment persuader un bloggeur de mettre notre lien sur son blog. C'est pourquoi j'ai peur de perdre mon travail :(

    Et maintenant, au lieu d'envoyer des milliers de lettres aux bloggeurs différents, je lis votre blog.

    Franchement, je ne suis pas tout à fait sûre que le lien vers notre site France jooble-fr.com soit convenable pour votre blog, mais si vous pourriez le mettre, je vous serais extrêmement RECONNAISSANTE!!! Notre site est vraiment génial pour chercher du travail.

    Bonne journée à vous! Merci encore pour votre excellent blog. Bonne continuation!

    P.S. Je suis Verseau, comme vous :)


    Cordialement,

    Yulia Durand
    Account Manager

    Tel: +44 (0) 800 098 8516
    E-mail: yd@jooble.com
    Skype: yulia.durand

    www.jooble.org

    RépondreSupprimer
  2. Chère Yulia Durand,

    Merci pour la sympathie que vous semblez porter à ce que je fais.

    Je suppose que votre lien pourrait tout à fait figurer dans le commentaire précédent. Ce n’est peut-être pas très ambitieux, mais les personnes intéressées pourraient toujours le saisir. Étant donné que ce blog n’est qu’un portfolio (dossier personnel), je préférerais qu’il garde toujours un lien direct avec mon parcours personnel. Pas facile cependant avec un tel outil conçu pour blog.

    J’ai eu la chance d’avoir pris à ma charge la traduction de cette présentation de manuels. En fait, une personne de ma connaissance (M.Phạm Toàn) m’a confié cette tâche qui aussitôt me passionne. J’ai eu cependant très peu de temps pour ce travail car il m’a été proposé assez tard, et j’ai dû voyager d’une ville à une autre avec lui…

    Bonne chance à vous et à votre société Jooble.
    Anh Nga

    RépondreSupprimer
  3. Bonjour,

    Merci bcp pour votre aide.
    Bonne journée !

    Cordialement,

    Yulia Durand
    Account Manager
    Tel: +44 (0) 800 098 8516
    E-mail: yd@jooble.com
    Skype: yulia.durand

    www.jooble.org

    RépondreSupprimer