Ce portfolio se veut un objet de recherche et de découverte, un lieu de partage et d’échanges entre « alter » et « ego ». Tous les commentaires seront donc les bienvenus. J’en remercie par avance leurs auteurs.

« Sẽ có một ngày trên hành trình đến với những cánh đồng Abydos của Osiris dương trần tục luỵ em bỏ lại đàng sau cả những thân sơ giận thương yêu ghét... »


Chers collègues,


Après une assez longue période de tâtonnements, voici enfin le fruit de mes efforts continus.

J’ai le grand plaisir de mettre à votre disposition un e-portfolio que j’ai conçu comme outil d’accompagnement à mon auto-formation, et en tant qu’enseignante-chercheur-formateur (ou ... chercheuse-formatrice ?), ceci dans le but de favoriser des échanges et contacts avec des collègues d’ici et d’ailleurs.

J’aurais aimé un outil plus approprié (pour plus de facilité dans la conception et dans la lecture), mais je n’en ai pas trouvé. Je compte donc sur votre compréhension.

Si les jeunes collègues y trouvent quelque utilité pour leurs réflexions, ou pour alimenter et enrichir leur vécu professionnel, ce sera à ma très grande joie, et j’en serai bien honorée.

Je compte aussi sur vos remarques, suggestions et propositions (qui seront ajoutées en fin de chaque article ou en bas de la page) pour pouvoir améliorer cet outil. Vous pourriez de même me les communiquer par email (phamthi.anhnga@yahoo.fr).

Avec mes sincères remerciements,

Et Bonne Année du Buffle !


Anh Nga

dimanche 20 juin 2010

VICTOR HUGO, LES MISERABLES (1862) - PAGES FINALES DU ROMAN


Est-ce une pure co
ïncidence, si en surfant je suis tombée en ce jour-ci sur ces pages? Quelque chose d'étrange, de mystérieux, de magique, de céleste aurait guidé mon esprit, mes gestes ... Dieu merci!
(Anh Nga)



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TOME V : JEAN VALJEAN, LIVRE NEUVIEME ; SUPREME OMBRE SUPREME AURORE

Chapitre V : Nuit derrière laquelle il y a le jour

La portière était montée et regardait par la porte entrebâillée. Le médecin la congédia, mais il ne put empêcher qu’avant de disparaître cette bonne femme zélée ne criât au mourant :

— Voulez-vous un prêtre ?

— J’en ai un, répondit Jean Valjean.

Et, du doigt, il sembla désigner un point au-dessus de sa tête où l’on eût dit qu’il voyait quelqu’un.

Il est probable que l’évêque en effet assistait à cette agonie.

Cosette, doucement, lui glissa un oreiller sous les reins.

Jean Valjean reprit :

— Monsieur Pontmercy, n’ayez pas de crainte, je vous en conjure. Les six cent mille francs sont bien à Cosette. J’aurais donc perdu ma vie si vous n’en jouissiez pas ! Nous étions parvenus à faire très bien cette verroterie-là. Nous rivalisions avec ce qu’on appelle les bijoux de Berlin. Par exemple, on ne peut pas égaler le verre noir d’Allemagne. Une grosse, qui contient douze cents grains très bien taillés, ne coûte que trois francs.

Quand un être qui nous est cher va mourir, on le regarde avec un regard qui se cramponne à lui et qui voudrait le retenir. Tous deux, muets d’angoisse, ne sachant que dire à la mort, désespérés et tremblants, étaient debout devant lui, Cosette donnant la main à Marius.

D’instant en instant, Jean Valjean déclinait. Il baissait ; il se rapprochait de l’horizon sombre. Son souffle était devenu intermittent ; un peu de râle l’entrecoupait. Il avait de la peine à déplacer son avant-bras, ses pieds avaient perdu tout mouvement, et en même temps que la misère des membres et l’accablement du corps croissait, toute la majesté de l’âme montait et se déployait sur son front. La lumière du monde inconnu était déjà visible dans sa prunelle.

Sa figure blêmissait et en même temps souriait. La vie n’était plus là, il y avait autre chose. Son haleine tombait, son regard grandissait. C’était un cadavre auquel on sentait des ailes.

Il fit signe à Cosette d’approcher, puis à Marius ; c’était évidemment la dernière minute de la dernière heure, et il se mit à leur parler d’une voix si faible quelle semblait venir de loin, et qu’on eût dit qu’il y avait dès à présent une muraille entre eux et lui.

— Approche, approchez tous deux. Je vous aime bien. Oh ! c’est bon de mourir comme cela ! Toi aussi, tu m’aimes, ma Cosette. Je savais bien que tu avais toujours de l’amitié pour ton vieux bonhomme. Comme tu es gentille de m’avoir mis ce coussin sous les reins ! Tu me pleureras un peu, n’est-ce pas ? Pas trop. Je ne veux pas que tu aies de vrais chagrins. Il faudra vous amuser beaucoup, mes enfants. J’ai oublié de vous dire que sur les boucles sans ardillons on gagnait encore plus que sur tout le reste. La grosse, les douze douzaines, revenait à dix francs, et se vendait soixante. C’était vraiment un bon commerce. Il ne faut donc pas s’étonner des six cent mille francs, monsieur Pontmercy. C’est de l’argent honnête. Vous pouvez être riches tranquillement. Il faudra avoir une voiture, de temps en temps une loge aux théâtres, de belles toilettes de bal, ma Cosette, et puis donner de bons dîners à vos amis, être très heureux. J’écrivais tout à l’heure à Cosette. Elle trouvera ma lettre. C’est à elle que je lègue les deux chandeliers qui sont sur la cheminée. Ils sont en argent ; mais pour moi ils sont en or, ils sont en diamant ; ils changent les chandelles qu’on y met, en cierges. Je ne sais pas si celui qui me les a donnés est content de moi làhaut. J’ai fait ce que j’ai pu. Mes enfants, vous n’oublierez pas que je suis un pauvre, vous me ferez enterrer dans le premier coin de terre venu sous une pierre pour marquer l’endroit. C’est là ma volonté. Pas de nom sur la pierre. Si Cosette veut venir un peu quelquefois, cela me fera plaisir. Vous aussi, monsieur Pontmercy. Il faut que je vous avoue que je ne vous ai pas toujours aimé ; je vous en demande pardon. Maintenant, elle et vous, vous n’êtes qu’un pour moi. Je vous suis très reconnaissant. Je sens que vous rendez Cosette heureuse. Si vous saviez, monsieur Pontmercy, ses belles joues roses, c’était ma joie ; quand je la voyais un peu pâle, j’étais triste. Il y a dans la commode un billet de cinq cents francs. Je n’y ai pas touché. C’est pour les pauvres. Cosette, vois-tu ta petite robe, là, sur le lit ? la reconnais-tu ? Il n’y a pourtant que dix ans de cela. Comme le temps passe ! Nous avons été bien heureux. C’est fini. Mes enfants, ne pleurez pas, je ne vais pas très loin. Je vous verrai de là. Vous n’aurez qu’à regarder quand il fera nuit, vous me verrez sourire. Cosette, te rappelles-tu Montfermeil ? Tu étais dans le bois, tu avais bien peur ; te rappelles-tu quand j’ai pris l’anse du seau d’eau ? C’est la première fois que j’ai touché ta pauvre petite main. Elle était si froide ! Ah ! vous aviez les mains rouges dans ce temps-là, mademoiselle, vous les avez bien blanches maintenant. Et la grande poupée ! te rappelles-tu ? Tu la nommais Catherine. Tu regrettais de ne pas l’avoir emmenée au couvent ! Comme tu m’as fait rire des fois, mon doux ange ! Quand il avait plu, tu embarquais sur les ruisseaux des brins de paille, et tu les regardais aller. Un jour, je t’ai donné une raquette en osier, et un volant avec des plumes jaunes, bleues, vertes. Tu l’as oublié, toi. Tu étais si espiègle toute petite ! Tu jouais. Tu te mettais des cerises aux oreilles. Ce sont là des choses du passé. Les forêts où l’on a passé avec son enfant, les arbres où l’on s’est promené, les couvents où l’on s’est caché, les jeux, les bons rires de l’enfance, c’est de l’ombre. Je m’étais imaginé que tout cela m’appartenait. Voilà où était ma bêtise. Ces Thénardier ont été méchants. Il faut leur pardonner. Cosette, voici le moment venu de te dire le nom de ta mère. Elle s’appelait Fantine. Retiens ce nom-là : — Fantine. Mets-toi à genoux toutes les fois que tu le prononceras. Elle a bien souffert. Elle t’a bien aimée. Elle a eu en malheur tout ce que tu as en bonheur. Ce sont les partages de Dieu. Il est là-haut, il nous voit tous, et il sait ce qu’il fait au milieu de ses grandes étoiles. Je vais donc m’en aller, mes enfants. Aimez-vous bien toujours. Il n’y a guère autre chose que cela dans le monde : s’aimer. Vous penserez quelquefois au pauvre vieux qui est mort ici. Ô ma Cosette ! ce n’est pas ma faute, va, si je ne t’ai pas vue tous ces temps-ci, cela me fendait le cœur ; j’allais jusqu’au coin de ta rue, je devais faire un drôle d’effet aux gens qui me voyaient passer, j’étais comme fou, une fois je suis sorti sans chapeau. Mes enfants, voici que je ne vois plus très clair, j’avais encore des choses à dire, mais c’est égal. Pensez un peu à moi. Vous êtes des êtres bénis. Je ne sais pas ce que j’ai, je vois de la lumière. Approchez encore. Je meurs heureux. Donnez-moi vos chères têtes bien-aimées, que je mette mes mains dessus.

Cosette et Marius tombèrent à genoux, éperdus, étouffés de larmes, chacun sur une des mains de Jean Valjean. Ces mains augustes ne remuaient plus.

Il était renversé en arrière, la lueur des deux chandeliers l’éclairait ; sa face blanche regardait le ciel, il laissait Cosette et Marius couvrir ses mains de baisers ; il était mort.

La nuit était sans étoiles et profondément obscure. Sans doute, dans l’ombre, quelque ange immense était debout, les ailes déployées, attendant l’âme.

Chapitre VI : L’herbe cache et la pluie efface

Il y a, au cimetière du Père-Lachaise, aux environs de la fosse commune, loin du quartier élégant de cette ville des sépulcres, loin de tous ces tombeaux de fantaisie qui étalent en présence de l’éternité les hideuses modes de la mort, dans un angle désert, le long d’un vieux mur, sous un grand if auquel grimpent les liserons, parmi les chiendents et les mousses, une pierre. Cette pierre n’est pas plus exempte que les autres des lèpres du temps, de la moisissure, du lichen, et des fientes d’oiseaux. L’eau la verdit, l’air la noircit. Elle n’est voisine d’aucun sentier, et l’on n’aime pas aller de ce côté-là, parce que l’herbe est haute et qu’on a tout de suite les pieds mouillés. Quand il y a un peu de soleil, les lézards y viennent. Il y a, tout autour, un frémissement de folles avoines. Au printemps, les fauvettes chantent dans l’arbre.

Cette pierre est toute nue. On n’a songé en la taillant qu’au nécessaire de la tombe, et l’on n’a pris d’autre soin que de faire cette pierre assez longue et assez étroite pour couvrir un homme.

On n’y lit aucun nom.

Seulement, voilà de cela bien des années déjà, une main y a écrit au crayon ces quatre vers qui sont devenus peu à peu illisibles sous la pluie et la poussière, et qui probablement sont aujourd’hui effacés :

Il dort. Quoique le sort fût pour lui bien étrange,

Il vivait. Il mourut quand il n’eut plus son ange,

La chose simplement d’elle-même arriva,

Comme la nuit se fait lorsque le jour s’en va.


Pélican VI (Fête des Pères 2010)




Extrait de lettre de Papa

(10 avril 1994):




«...Mes enfants, ne pleurez pas. Je ne vais pas très loin. Je vous verrai de là. Vous n’aurez qu’à regarder quand il fera nuit, vous me verrez sourire.»


Victor Hugo, Les Misérables (extrait)

dimanche 13 juin 2010

Perles “universitaires” de fins de semestre

(Département de Français, Université de Hué)


Lexicologie, 2e semestre 2007-2008 (3e année)


- Riez! Riez! Vous verrez la vie en rose.

- Le repas n’a pas de format comme le bisou n’a pas de moustache.

- L’égoïsme est le poison de l’amitié. Sens primitif: un lieu où on poisonne les couples. Sens métaphorique: la séparation de l’amitié.

- L’espérance est le pain de malheur. Sens primitif: grâce à l’espérance, on peut passer des difficultés dans la vie. Sens métaphorique: sans pessimiste.

- Mots formés avec le préfixe «inter-»: intérieur – intéressant.

- Mots formés avec le suffixe «–aison»: maison – raison – saison.

- La police interviendra if il y a des voleurs.


Expression Écrite, 2e semestre 2007-2008 (3e année)


- téléphone postable

- computer potable

- Autrefois, si on veut lire, on ira au bibliothèque pour chercher le livre nécessaire. Mais, maintenant, les nombres des personnes lissent de plus en plus moins.

- Ils achètent des livres mais ils ne litent pas, pas encore ils n’est pas lire.

- Cela a fait les livre sans utiliser ou nous oublions le présent des livres, en plus nous devenirons plus pararesseux avec la lecture.

- Aujourd’hui, au Vietnam, des nouvelles technologies sont de plus en plus développés. Il y a beaucoup de moyens modernes comme : l’internet, le laptop, la téléphone portable... À cause d’eux, on connait tous dans le monde et on apprend bien. La plurpart de livre n’est pas pris et la lecture est de moins en moins rare.

- On connait seulement parler un peu de français, c’est le grave problème, on ne peut pas communiquer avec n’importe quiet acherter n’importe quoi.


Littérature française du 20e siècle, 1er semestre 2009-2010 (4e année)


- Jarque Prévert

- Andre Béton


À propos du poème «La colombe poignardée et le jet d’eau» et de G.Apollinaire:


- Le poème se carractérise par la calligramaire. C’est un caractaire du surréalisme.

- Après la lecture «Calligramais». Je trouve que un poème d’Apollinaire a écrit à l’image de la Colombe poignardée. Le «Calligramais» a été écrit comme le «tableau», pour parler de l’image «Colombe poiganrdée». Cette carectiristique «Le colombe poiganrdée et le jet d’eau». «le symbolisent la colombe et sa mort, le jeu d’eau et ses pleurs» «le colombe poignardée et le le jet d’eau».

- l’image «poignardée» est très malheur et douces. «Douces figures poignardés Chèreres levrès fleurieus» l’auteur veut exprimer «Poignardée est malheur». «D’un jet d’eau qui pleure et qui colombe s’extasie». l’image un jet d’eau a l’expression.

- Le lexique dans «Calligramais»: un poème d’Apollinaire veut parler de la Colombe poignardée. Mais c’est pourquoi, Un poème a écrit l’image de la vie humain dans XXe siècle. La vie est très malheur, difficiculté, … tout le français dans la guerre.

- Willaume Apollinaire


À propos du poème «Liberté» et de P.Éluard:


- Le quatrième vers considère un refrain et dans le catholique, le mot «Amen» est un refrain. En effet, c’est une chanson populaire.

- La dernière strophe jour un rôle le plus important. En effet, le poème ne parle pas à la liberté mais parle de liberté. Liberté est le personnage qu’auteur veut dire.

- La vie du poète: Paul Éluard est né dans une famille modeste. Il atteint la tuberculose et il interrompt ses études à l’âge de seize ans.

- La situation se trouve le poète au mment de l’écriture du poème: À cause de la mort Nush, le poète inspire et écrit les poèmes pour rettrouver certains aspects quiétude. Le poète passe beaucoup de compagnes pour évioquer et trouver son goût ses images et sa vie.

- «Liberté» est extrait du «Poésie et Vérité» dans le poète «Paul Éluard».

- Son œuvre est indossociable dans la sociale. Il a monté du fasccime. Et il rencontre Dominique, c’est la fin de la vie, le poète retrouve certains aspects quiétude.

- La mort de son père en 1903, et la mort de sa mère en 1905, il est très déprimé. [… comme Marcel Proust ?]

- Dans le poème, le poète a utilisé plusieurs différents champs lexicaux: D’abord, c’est la nature. (…).- Ensuite, c’est le temps. L’auteur utilise beaucoup de temps comme: présent, passé composé, par exemple: J’écris, je suis né. c’est des verbes comparé.

- Paul Élurard a écrit beaucoup de phrase: «J’écris ton nom» c’est-à-dire la «liberté».

- Après la deux guerre il s’incrit au part communiste.

- Paul Éluard est un grand poème de France.

- Quand Éluard écrit le poème, La France est dans la guerre mondial, l’auteur est aussi soldat. Il participe - à la guerre pour protecter votre pays.

- Je trouve que c’est un poème original de contenu et apparence.


À propos du Surréalisme:


- Le mot «Surréalisme» est l’expression de Paul Éluard qui représente dans la Situation II. [de JP.Sartre ???]

- Un des poètes du Surréalisme, Apollinaire, est trouvé défini par André Breton, dans l’essaii «Manifeste du Surréalisme».


Lexicologie française, 1er semestre 2009-2010 (3e année)


- bêtise: action de bêtiser

- Mots avec le préfixe «anti-»: antique, anticlopédie, anticyclopédique, anticoptère antiquiter…

- Mots avec le suffixe «-ée»: épée, crée, supermarché…

- Ce vacine peut anti-virus H1N1.

- Ce computer a l’antivirus très bien.

- Je suis année 1986.


Élaboration de sujets d’évaluation, 2e semestre 2009-2010 (4e année)


- Vrai / Faut / On ne sais pas. (2 point)

- QCM à trois choix: Vrai / Faux / On ne sait pas.

- Test d’appariement: Reliez les éléments aux deux colonnes.

- Cochez la bonne réponse:

La classe de sixième à la terminale est:

a. la classe 6e au Vietnam.

b. la classe 10e au Vietnam.

c. la classe 12e au Vietnam.

- Est-ce que tous les parents rêve de leurs enfants qui entrent l’université ou qui ont une profession d’avenir.

- Ils rêvent du baccalauréat, les concours d’entrée de l’université et une profession d’avenir de leurs enfant.

- Les parents rêvent ses enfant qui ont bon travail dans l’avenir.

- Dans sept ans, l’enfant devra étudier beaucoup. [Dans sept ans = de la classe de 6e à la classe de 12e ???]

- Les enfants apprennent le match pour chaque jour.

- Les parents savent que le monde est entrain de changer vitement.

- Aujourd’hui, le scientifique et technologique est très développement.

- Quand la sociéte est de plus en plus progrè, on ne doit pas étudier avec beaucoup de courage.

- Le monde change vite qu’il pourra réussir sa vie plus tard, les enfants font seulement.

- Pendant 7 années scolaires, l’enfant peut réussir sa vie plus tard.


OH MON DIEU !!! OH MON DIEU !!! OH MON DIEU !!!.................

Jeanne d'Arc 1960-1973

Jeanne d'Arc 1960-1973
classes de 7e et de 8e

classe de 4e

ENS de Hué 1973-1977

ENS de Hué 1973-1977
4e année

Université de Rouen 1996-1997

Université de Rouen 1996-1997
salle de documentation DESCILAC - le 9 janvier 1997

dernier cours de méthodologie 1997

Université de Rouen 1999-2000

Université de Rouen 1999-2000
soutenance de thèse

avec Anh Hai

... et les copains copines

ENS de Hué 2003-2004

ENS de Hué 2003-2004

Université d'Hélouan - Égypte 2004

Université d'Hélouan - Égypte 2004

Bangkok 2006

Bangkok 2006

ESLE de Hué 2006-2007

ESLE de Hué 2006-2007

Siem Reap 2007

Siem Reap 2007
anciens Rouennais

chez Minh 2008

chez Minh 2008

Pagode Từ Lâm (Hué) 2008

Pagode Từ Lâm (Hué) 2008

Vientiane 2008

Vientiane 2008
Avenue Lane Xang

Université Nationale du Laos

Bình Châu (Bà Rịa-Vũng Tàu) 2008

Bình Châu (Bà Rịa-Vũng Tàu) 2008


đăng quang 2008

đăng quang 2008

kỷ sửu 2009

kỷ sửu 2009
đền huyền trân

trúc lâm thiền viện

chez phan thuận an 2009

chez phan thuận an 2009

dans le soleil et dans le vent

thả thơ 2009

thả thơ 2009
trên sông Hương

tiến vào chung kết

Fai Fo 2009

Fai Fo 2009

canh dần 2010

canh dần 2010
chùa Từ Lâm

phật tử Quảng Viên

phật tử Quảng Viên
chùa Tịnh Giác

Huý nhật lần 7 của em Minh (5.10.2011 - 9.9 ÂL)

Huý nhật lần 7 của em Minh (5.10.2011 - 9.9 ÂL)
Nam-Nga Tuấn-Hà Phượng Chôm Bư Nin Hề + Tùng Tú